Villefranchesur-Saône Thomas Ravier 8 èmevice-président Projets et renouvellement urbains Maire de Villefranche-sur-Saône Jean-Charles Perrin 13 ème vice-président Collecte, traitement et valorisation des déchets Maire de Vaux-en-Beaujolais Rémy Aurion conseiller délégué Réussite éducative Maire de Cogny Gilles Authier conseiller délégué Réserves foncières
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Lundisoir, Villefranche-sur-Saône élisait à son tour un nouveau maire.
Villefranchesur-Saône Villefranche-sur-Saône Thomas Ravier officiellement élu maire Plus formelle que politique, l’élection de Thomas
Villefranchesur-Saône Point par point Thomas Ravier, maire de Villefranche, se fait expliquer les services de la société Servicad, maitre d'oeuvre, aménagement du territoire. Photo Marie
Communesà 60 km de Chozeau (38460) avec Conservatoire . Nous créons le site internet de votre association. Cliquez pour en savoir plus. Rayon autour de la commune : 60 km 0 200 km 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 170 180 190 200. Population + 50 000 hab.-10 000 à 50 000 hab.- 2
OOk7. Photo d’illustration. © Tim Douet 15 mars 2020 A 202015 mars 2020 A 2023 par Thomas Ravier, le maire de Villefranche-sur-Saône est réélu au 1er tour des municipales avec 66,5% des voix. Nombre d’inscrits sur les listes électorales 18 698 Taux d’abstention 71,21% Votes blancs ou nuls 144 Liste Nuance Conduite par %/exprimés Nombre de voix VILLEFRANCHE DEMAIN LDVD M. Thomas RAVIER 66,5 3484 VILLEFRANCHE AUTREMENT AVEC VOUS LDVG Mme Danièle LEBAIL 19,55 1024 Villefranche, Terre d'Avenir LREM M. Denis CHAUMAT 13,95 13,95
Sommaire 1. Nom du maire 2. Âge du maire 3. Profession du maire 4. Contacter le maire 5. Adresse & horaires de la mairie 6. Conseil municipal 7. Vos avis sur le maire Retrouvez ci-dessous toutes les informations sur M. le maire de Villefranche-sur-Saône. Vous pouvez également partager votre avis sur ce maire en fin de page. M. Thomas RAVIER a été élu maire de la ville de Villefranche-sur-Saône le 18/05/2020 et ce jusqu'en 2026. Il a pris ses fonctions en tant que maire le 25/05/2020. En France, 45 autres maires ont le même prénom Thomas et 4 autres maires ont le même nom de famille RAVIER Âge du maire de Villefranche-sur-Saône Le maire de la ville de Villefranche-sur-Saône est âgé de 43 ans. En effet, M. le maire, Thomas RAVIER est né le 19/12/1978. En France sur les 34 995 maires, 94,52% sont plus agés et 5,48% plus jeunes. Aucun autre maire n'est né le même jour que M. Thomas RAVIER Profession du maire de Villefranche-sur-Saône M. Thomas RAVIER excerce un métier qui le classe dans la catégorie des cadres administratifs et commerciaux d'entreprise. En France, -1 maires ont un métier similaire. Vous pouvez contacter M. RAVIER aux coordonnées suivantes Teléphone 04 74 62 60 00 Fax 04 74 62 60 58 Email com Se rendre à la mairie de Villefranche-sur-Saône Mairie de Villefranche-sur-Saône 183 rue de la Paix 69400 Villefranche-sur-Saône Ouverture de la mairie Le Lundi de 08h30 à 12h00 de 13h30 à 17h30 Le Mardi de 13h30 à 17h30 Du Mercredi au Vendredi de 08h30 à 12h00 de 13h30 à 17h30 Le Samedi de 09h00 à 12h00 Conseil municipal de Villefranche-sur-Saône Sexe Nom Naissance Profession F Keziban AKSU GIRISIT 07/12/1979 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Jean-Louis ALLIX 20/10/1955 Chefs d'entreprise de 10 salariés ou plus M Étienne ALLOMBERT 27/06/1988 Employés administratifs d'entreprise F Stylitt BAUDU-LAMARQUE 01/06/1964 Professions libérales F Béatrice BERTHOUX 11/04/1968 Personnes diverses sans activité professionnelle de moins de 60 ans sauf retraités F Muriel BLANC 07/07/1958 Anciens cadres F Myriam CADI 15/11/1958 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Denis CHAUMAT 04/10/1963 Professions libérales F Henriette COURT 09/04/1958 Anciens employés F Delphine DUBOST STIVAL 01/02/1973 Professions intermédiaires administratives et commerciales des entreprises M Christophe ESPASA 25/12/1971 Cadres de la fonction publique M Laurent FLORY 03/01/1970 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Benoît FROMENT 14/09/1974 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise F Isabelle GAVEL 03/04/1970 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Didier GIBERT 10/04/1956 Professions libérales M Georges GIFFON 08/03/1975 Commerçants et assimilés F Martine GLANDIER 19/11/1954 Anciens artisans, commerçants, chefs d'entreprise M Kamel GUIDOUM BOUZIANI 11/06/1959 Professeurs, professions scientifiques M Aloïs HAMM 27/08/1973 Employés de commerce F Sylvia HRADIL 16/08/1953 Anciens employés M Michel JAMBON 12/03/1953 Professeurs, professions scientifiques F Geneviève JONARD 04/01/1958 Cadres de la fonction publique F Françoise LAFAŸSSE 10/06/1957 Anciens employés F Danièle LEBAIL 24/09/1958 Anciens employés M Vassili LICI 10/07/1967 Ingénieurs et cadres techniques d'entreprise M Patrick LIEVRE 14/03/1961 Anciennes professions intermédiaires F Sophie LUTZ 28/08/1967 Personnes diverses sans activité professionnelle de moins de 60 ans sauf retraités M Olivier MANDON 24/03/1967 Chefs d'entreprise de 10 salariés ou plus F Emilie MEUNIER 17/11/1978 Professions intermédiaires de la santé et du travail social F Michèle MONTAGNIER 05/04/1967 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Didier MOULIN 30/09/1959 Anciens employés F Frédérique PARLIER 19/05/1953 Anciens employés M Bernard PERRUT 24/01/1957 Anciens cadres M Alexandre PORTIER 21/04/1990 Cadres de la fonction publique M Thomas RAVIER 19/12/1978 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise M Cihan RAYMAN 15/02/1974 Ouvriers qualifiés de la manutention, du magasinage et du transport F Pascale REYNAUD 04/06/1966 Ingénieurs et cadres techniques d'entreprise M Pascal RONZIERE 24/06/1972 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise F Capucine SEIVE 14/06/1977 Cadres administratifs et commerciaux d'entreprise Le conseil municipal de Villefranche-sur-Saône est constitué de 39 membres 19 femmes et 20 hommes . La moyenne d'âge du conseil municipal de la ville de Villefranche-sur-Saône est de 56 ans. Votre avis sur le maire de Villefranche-sur-Saône D'autres maires du département du Rhône 69 Maire de Dardilly Maire de Yzeron Maire de Montrottier Maire de Loire-sur-Rhône Maire de Châtillon Maire de Meyzieu Maire de Ambérieux Maire de Longessaigne Maire de Bully Maire de Villefranche-sur-Saône Retrouvez la liste de tous les maires du département du Rhône
Société Avec la crise sanitaire, de nombreux musulmans se voient dans l'impossibilité de faire rapatrier les corps de leurs proches en terre d'islam. A défaut, ils réclament auprès des élus le droit de pouvoir enterrer leurs morts entre-eux, dans des carrés confessionnels spécifiques. Une pratique pourtant interdite par la loi française. Enquête. Publié le 20 mai 2020 à 23h17 Image d'illustration. Photo © Contre Jour/Sipa C’est l’une des nombreuses conséquences imprévues de la crise sanitaire. Tout commence par un communiqué du CFCM, publié lundi 13 avril et relayé par la presse, dans lequel les responsables religieux musulmans déplorent que de nombreuses familles face à la douleur du deuil et à l’éventualité de ne pas pouvoir inhumer leurs défunts dans le respect de leurs rites ». D’autant plus que les mesures sanitaires limitent le rapatriement des corps en terre islamique. Le CFCM demande en conséquence aux Maires de France qu’ils prennent leurs responsabilités face à la souffrance et à la douleur de ces familles », c’est-à -dire de se conformer aux exigences religieuses des défunts musulmans. Dans la foulée, une plateforme communautaire dénommée se saisit habilement du sujet afin de transformer ces belles paroles, un peu trop vagues, en revendications concrètes. Elle lance le plan urgence Janaza », du nom de la prière islamique prononcée lors du rituel funéraire musulman. Il y a urgence, il faut qu’on se mobilise ensemble, pour que nos morts puissent être enterrés dignement, en France », indique la plateforme sur Twitter tout en détaillant les modalités de son plan d’action, qui se résume en quelques mots faire pression sur les responsables politiques. Interpellez vos élus ça prend 2 min mais ce sera d’une grande aide pour toutes les familles endeuillées », précise-t-elle. Pour faciliter le travail, développe un programme sur son site Internet qui permet à n’importe quel internaute de trouver les coordonnées précises de son maire en quelques clics, puis de lui envoyer un message entièrement pré-rédigé. Et ce, quelle que soit la situation réelle du cimetière de la commune ou de l’agglomération, puisque la plateforme indique ambitieusement que là où il n’existe pas de carré musulman, ils doivent être créés. Là où ils existent, il faut augmenter le nombre de places disponibles ». Dans notre ville le problème des carrés confessionnels ne s’était jamais présentée. Cette soudaine revendication nous a semblé mue par un objectif de conquête L’opération est un succès c’est une avalanche de clics. Une semaine plus tard, 7 500 participants ont saisi maires et préfets pour demander la création de carrés musulmans, se félicite la plateforme sur Twitter. Si vous ne l’avez pas encore fait, rejoignez la mobilisation et interpellez vos élus à ce sujet », rappelle-t-elle, sans se soucier ni de loi en vigueur, ni de la réalité du terrain. Ni même de la très désagréable impression pour les responsables politiques d’essuyer une telle pression. Car pour eux, cette avalanche de courriels a tout d’un harcèlement de grande ampleur. Nous en avons reçu dizaine par jour environ », explique un membre de l’équipe municipale d’une ville moyenne à faible population musulmane, qui nous a fait parvenir une capture d’écran d’un de ces courriels voir au-dessous. Dans notre ville, le problème de la place dans les carrés confessionnels ne s’était jamais présenté. Cette soudaine revendication nous a semblé mue par un objectif de conquête », explique-t-il, préférant garder l’anonymat. Face à ces demandes répétées, la municipalité pour laquelle il travaille est contrainte de réagir. Mais lorsque nous avons contacté le responsable religieux de la communauté musulmane de la ville, celui-ci nous a confirmé qu’il n’y avait pas de besoins urgents »… ce qui n’a pas empêché la plateforme de poursuivre aveuglement son plan urgence Janaza ». A Gleizé, commune voisine de Villefranche-sur-Saône, non loin de Lyon, la question a même pris une tournure polémique. Mardi 5 mai, le journal Le Progrès relate le conflit qui oppose Florian Oriol, conseiller municipale RN de Gleizé, et le prêcheur musulman de Villefranche-sur-Saône, Hamed Salem, qui a obtenu l’extension du carré musulman du cimetière intercommunal de Gleizé. Et ce, malgré la bande sonore enregistrée quatre ans plus tôt et relayée par Florian Oriol voir au-dessous, dans laquelle on entend distinctement le prédicateur s’indigner de ce qu’ au soi-disant carré musulman qui est à Gleizé, il n’y pas de mur qui sépare le carré musulman du carré non-musulman … ». Résultat Faute de places, certains ont été enterrés à côté de tombes de non-musulmans ». Or, explique-t-il Le musulman, quand il passe devant le cimetière des kouffars’, l’invocation est de dire Je vous annonce l’enfer’.» Des propos que l’intéressé ne nie pas mais tente d’édulcorer, tout en poursuivant son combat pour obtenir l’extension et la séparation physique du carré musulman dans le cimetière de Gleizé. Pendant le confinement, Hamed Salem a fait pression sur le maire de Villefranche-sur-Saône. Sur Facebook, son appel est relayé par le réseau musulman local. S’ensuit une série de courriels et d’appels auprès des élus, au point que le standard de la marie est rapidement saturé, ce dont Hamed Salem se félicitera sur Facebook. Encore une fois, le coup de pression est efficace. Le maire, Thomas Ravier, répond à Hamed Salem qu’il va solliciter l’agglomération en charge du cimetière pour se pencher sur la question. A l’issue de discussions entre l’agglomération et le conseil régional du culte musulman CRCM, Hamed Salem affirmera par la suite que ses revendications ont porté leurs fruits, le CRCM ayant obtenu sept places additionnelles, séparées des autres tombes avec des arbustes ». Ce qui est pourtant contraire à la laïcité qui s’impose aux cimetières municipaux. Ce n’est pas l’extension du carré musulman en tant que tel qui pose problème, mais l’exigence de la séparation physique », déplore de son côté Floran Oriol, qui rappelle qu’il reste des places dans le cimetière de Gleizé, mais que seuls les musulmans refusent de s’y faire enterrer parce qu’ils ne veulent pas côtoyer les tombes des non-musulmans. C’est un engrenage sans fin. Si l’on écoutait certains religieux, il faudrait également que le carré musulman soit géré et entretenu uniquement par des musulmans. » Alors pourquoi de telles concessions de la part des élus ? Par clientélisme, assure Florian Oriel. Une stratégie pas nouvelle à Villefranche-sur-Saône où Thomas Ravier, l’actuel maire, doit sa place à la démission de l’ancien maire LR Bernard Perrut, élu en 2017, qui avait participé à un repas de rupture du jeûne du ramadan en pleine campagne municipale pour appeler les musulmans à lui faire confiance » lors des élections qui auront lieu », comme en témoigne cet enregistrement vidéo Alors, séparatisme identitaire ou sincère revendication religieuse ? La question se pose pour les carrés musulmans aujourd’hui, comme elle s’est posée hier pour le voile ou la burqa. Pour Sami Aldeeb, ancien responsable du droit arabe et musulman à l’Institut suisse de droit comparé, et auteur d’un ouvrage sur la question des normes religieuses dans les cimetières, le séparatisme identitaire est intimement lié au fait religieux, puisque le droit musulman classique divise le monde des vivants selon des critères religieux, division qui se retrouve ensuite entre les morts ». Les ouvrages des légistes classiques ainsi que les écrits modernes instituent une nette séparation entre les musulmans et les mécréants kafir. Cette position n’a pratiquement pas évolué à travers les siècles à l’exception du fait que les écrits modernes permettent aujourd’hui l’enterrement des musulmans vivant dans les pays non-musulmans dans les cimetières des non-musulmans et pas le contraire s’il n’est pas possible de les transférer dans un pays musulman », explique son ouvrage, qui rappelle que catholiques et protestants refusaient de se faire enterrer côte à côte dans des temps reculés. Le Coran, précise-t-il encore, le stipule Ne prie jamais pour l’un d’entre eux [non-musulman] quand il est mort, ne t’arrête pas devant sa tombe. Ils ont été incrédules envers Dieu et son Prophète et ils sont morts pervers. » Vidéo de Sami Aldeeb sur le sujet publié après cet article, au sujet des carrés musulmans A l’inverse de la norme islamique, la législation française rejette le principe de carrés confessionnels au nom de la laïcité. Depuis 1881, la loi interdit tout regroupement par confession sous la forme d’une séparation matérielle du reste du cimetière. Et ce, bien avant l’arrivée de la religion musulmane. Une nouvelle loi adoptée en 1884 a par la suite renforcé la précédente en soumettant le maire à une obligation de neutralité dans l’exercice de son pouvoir de police des funérailles et des cimetières. Enfin, l’article 28 de la loi du 9 décembre 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat impose le principe de neutralité des parties publiques des cimetières, en interdisant d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement que ce soit, à l’exception des édifices servant aux cultes, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires, ainsi que des musées ou expositions ». Ces dispositions légales, impliquent l’interdiction de créer ou d’agrandir un cimetière confessionnel existant. L’articles L. 2213-7 du code général des collectivités territoriales stipule ainsi très clairement que le maire ou, à défaut, le représentant de l’Etat dans le département pourvoit d’urgence à ce que toute personne décédée soit ensevelie et inhumée décemment sans distinction de culte ni de croyance », tandis que l’article L. 2213-9 précise quant à lui que sont soumis au pouvoir de police du maire le mode de transport des personnes décédées, le maintien de l’ordre et de la décence dans les cimetières, les inhumations et les exhumations, sans qu’il soit permis d’établir des distinctions ou des prescriptions particulières à raison des croyances ou du culte du défunt ou des circonstances qui ont accompagné sa mort. » Une brèche dans la laïcité au cours des années 70 Dès lors, pourquoi les revendications religieuses dans les cimetières, émanant massivement de la communauté musulmane, paraissent-elles légitimes aujourd’hui, au point que la presse et certains responsables politiques s’en saisissent et les défendent, à l’instar de l’appel des huit députés issus de différents partis le 11 mai dernier ? Comme l’explique un rapport d’information sénatorial sur la législation funéraire datant de mai 2006, le ministère de l’Intérieur a pris le contre-pied des lois préexistantes en encourageant la création de carrés confessionnels dans les années 70, époque où les premières revendications religieuses ont émergé Deux circulaires du 28 novembre 1975 et du 14 février 1991 ont ainsi invité les préfets à recommander aux maires de leur département d’user des pouvoirs qu’ils détiennent pour réserver aux Français de confession islamique, si la demande leur en est présentée et à chaque fois que le nombre d’inhumations le justifiera, des carrés spéciaux dans les cimetières existants’. » Le rapport d’information sénatorial explique encore que pour prévenir tout contentieux, la circulaire de 1975 expose que les carrés confessionnels doivent prendre la forme de regroupements de fait » et que la neutralité de l’ensemble du cimetière doit être préservée tant dans son aspect extérieur que par la possibilité laissée aux familles de toutes religions de s’y faire inhumer. » Une brèche dans laquelle les revendications religieuses se sont engouffrées, puisque du regroupement de fait », c’est-à -dire d’un regroupement d’opportunité, on est venu peu à peu à la création d’un droit au regroupement confessionnel. Derrière cet assouplissement de la loi se cache par ailleurs la volonté de permettre à la population musulmane de France de se faire enterrer sur le territoire national, sans avoir à rapatrier les corps des défunts comme c’était massivement le cas à 80% selon les chiffres du CFCM avant la crise sanitaire, dans le but de bénéficier de la législation musulmane en la matière. Le maire de Béziers, Robert Ménard qui a lui aussi été la cible de nombreux courriels réclamant l’accroissement des carrés musulmans reconnaît ainsi n’avoir aucun problème avec les carrés confessionnels. Dans le cimetière de Béziers nous avons un carré juif, un carré yézidie et un carré musulman ». Que les musulmans se fassent enterrer en France est pour lui le signe d’une meilleure intégration ». Cet argument est aussi celui de certains représentants religieux, comme Mohamed Nabati, secrétaire général du Conseil régional du culte musulman des Pays de la Loire, qui estimait dans le journal Ouest-France, en 2006, que ce phénomène constituait pour les musulmans français une intégration par la mort ». Intégration ou ultime séparatisme par la mort ? Toute la question repose dans ce point précis. Plusieurs décennies déjà que ce surplus de droits et de devoirs au privilège d’un groupe organise son exil Didier Leschi, président du conseil de direction de l’Institut européen en sciences des religions, vient de publier chez Gallimard un essai intitulé La République des défunts, dans lequel il reproche aux responsables cultuels musulmans de réclamer une législation propre pour mieux séparer les musulmans des non-musulmans en France. Et ce, en dépit des efforts consentis par l’ordre républicain pour réunir des défunts qui n’ont pas la même religion », explique-t-il à Valeurs actuelles. Au lieu d’intégrer les musulmans au reste de la population, les carrés musulmans auto-discriminent une partie de la population. D’un côté, une société dont l’organisation coïncide avec la raison d’État et le creuset culturel majoritaire, explique Dider Leschi. De l’autre, une scission communautaire orchestrée par des individus qui, en se revendiquant d’une orthopraxie exogène à l’ordre social, en créent un nouveau. Plusieurs décennies déjà que ce surplus de droits et de devoirs au privilège d’un groupe organise son exil. »
Lors du conseil municipal du 10 juillet 2017, Thomas Ravier a été élu maire de Villefranche-sur-Saône, avec une large majorité 25 voix sur 38 votants.Le conseil municipal a ensuite procédé à l’élection des adjoints sur proposition du nouveau maire. Voici la liste des élus Sophie Lutz – première adjointe, déléguée à l’Education et aux ressources humaines Alexandre Portier – adjoint délégué aux finances et à la stratégie économique et à la sécurité Olivier Mandon – adjoint délégué à l’environnement , au développement durable et à l’innovation Muriel Blanc – adjointe déléguée à la jeunesse Michel Jambon – adjoint délégué à la vie sportive Martine Glandier – adjointe, déléguée au commerce, à l’artisanat et à la formation Didier Barry – adjoint délégué à la voirie et à l’aménagement urbain Béatrice Berthoux – adjointe déléguée à la culture Marie-Camille Jacquemet – adjointe, déléguée aux solidarités Jean-Luc Guénichon – adjoint délégué à la cohésion sociale Capucine Seive – délégué à l’enfance, à la famille et à la ensuite été nommé conseillers délégués Bernard Perrut – conseiller délégué aux compétences exercées au nom de l’Etat, chargé des relations institutionnelles et du rayonnement de la ville Daniel Faurite – conseiller délégué à la coopération intercommunale. Benoît Froment – projets urbains Michel Geernaert – logement et patrimoine Didier Moulin – Egalité des citoyens et accessibilité Frédérique Parlier – citoyenneté, bénévolat et solidarités Olivier Charrin – politique de la ville Kamel Guidoum – insertion et vie associative Pascale Reynaud – stationnement, places et Ravier élu nouveau maire de Villefranche-sur-Saône
Le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, au nord de Lyon, le 20 mars 2021. — E. Frisullo / 20 Minutes Villes de France, l’association d’élus des villes moyennes, et MyTraffic, leader européen de l’analyse du flux piéton, dévoilent ce lundi un palmarès sur l’attractivité des centres-villes des communes de moins de à 35 km au nord de Lyon, arrive en tête de classement, devant Chambéry et Pau. Trois villes où la fréquentation du centre-ville s’est bien maintenue malgré la crise dynamisme s’explique dans ces villes par les politiques publiques mises en place ces dernières années en matière de logements, de commerces ou d’activités culturelles pour attirer du monde dans le centre. On l’évoque souvent comme la voisine de Lyon ou le berceau du beaujolais, mais beaucoup moins pour l’attrait de son centre historique. Voilà qui pourrait bien changer à l’avenir, à en croire avec le palmarès dévoilé ce lundi par Villes de France, l’association d’élus des villes moyennes, et Mytraffic, leader européen de l’analyse du flux piéton. Villefranche-sur-Saône arrive en première position de ce classement consacré à l’attractivité et au dynamisme des centres-villes des communes de moins de habitants situées hors zone métropolitaine et grandes zones capitale du Beaujolais devance une autre ville de la région, Chambéry, et Pau, cette cité de Nouvelle-Aquitaine classée troisième dans ce palmarès établi à partir des flux enregistrés dans les bourgs de 180 communes entre mars 2020 et janvier 2021. Soit en pleine crise sanitaire liée au Covid-19. Cela nous paraissait important de mesurer l’évolution des visites dans ces centres-villes un an après le début de la crise sanitaire », souligne Julien Thooris de chez MyTraffic, dont le classement dévoile les 30 villes moyennes ayant le mieux Villefranche-sur-Saône, le 20 mars 2021. - E. Frisullo / 20 MinutesLa fréquentation du centre-ville se maintient malgré la criseEn tête de ces cités, le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, caractérisé notamment par une artère commerçante d’un kilomètre, a enregistré en moyenne 2,5 millions de passages par mois, entre mars 2020 et janvier 2021. Soit 83 % des flux observés avant le Covid-19. Ce classement, c’est avant tout la victoire des commerçants, confie à 20 Minutes le maire de Villefranche-sur-Saône Thomas Ravier UDI, qui avait succédé en cours de mandat à Bernard Perrut en 2017 et a été élu dès le premier tour en juin dernier. Nous nous sommes battus depuis le début de cette crise et nous nous sommes adaptés aux différents décrets pour maintenir l’attractivité de la ville ». Le grand marché couvert est resté ouvert, une plateforme recensant les commerces ouverts a été mise en place et des points de livraisons ont été imaginés pour maintenir le lien avec les clients. Mais au-delà même du contexte particulier lié au Covid-19, le fort dynamisme du centre de Villefranche-sur-Saône repose sur une politique de plus longue haleine. La résistance de ces communes à la crise s’explique par des années de politiques publiques menées par ces maires pour redynamiser leur ville, en travaillant à la fois sur l’aménagement du centre, les commerces, le logement, le stationnement ou encore les équipements publics, culturels et sportifs », ajoute Julien efforts récompensés pour rendre le bourg dynamique Le centre, c’est le cœur battant de notre ville. Nous avons activé beaucoup de leviers ces dernières années pour stopper la périphérisation du centre et densifier notre centre-ville », ajoute le maire de Villefranche-sur-Saône. En matière de logement, la commune de habitants, privilégie les programmes d’habitations dans l’Iris central de la ville pour accroître la population et la rapprocher du commerce de proximité. La ville aménage notamment un vaste écoquartier à deux pas du bourg. Pour maîtriser la mixité des commerces, la mairie est également active. Elle achète ou préempte les locaux commerciaux pour garder l’équilibre entre les nombreuses boutiques d’indépendants et de permettre à chacun de venir faire ses achats sans payer son stationnement au prix fort, tout en pacifiant la ville, un système de gratuité a été mis en place pour faire des courses rapides. Et pour un temps plus long dans le bourg, des parkings situés à l’entrée de la ville permettent de se garer à faible coût. Nos tarifs sont les plus bas de France », se félicite Thomas Ravier, qui mise aussi sur le théâtre, le cinéma Art et essai, le multiplexe CGR ouvert depuis deux ans ou les animations proposées régulièrement dans le bourg pour faire rayonner sa ville. On peut trouver plus simple et pratique d’aller faire ses achats en périphérie, mais le centre-ville a un charme, des activités et un patrimoine qu’on ne trouve pas ailleurs ».
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