Découvreztoute notre gamme de légumes au rayon Fruits et légumes de votre magasin Grand Frais, en focntion des saisons : artichaut, asperge, aubergine noire Menu Choisir mon magasin Newsletter Promotions Promos Rechercher Fruits et Légumes Épiceries d'ici et d'ailleurs Le meilleur marché Fromagerie Boucherie Poissonnerie Choisir mon magasin Mon compte Je me Néanmoins en cette conjoncture particulièrement difficile, des propos «rassurants» ont émané du ministère du Commerce, quant au retournement de la situation. En effet, selon les déclarations du directeur général de la régulation et de l’organisation des activités au ministère du Commerce, les prix des fruits et légumes MINde Bordeaux-Brienne : fruits et légumes (cours Grossistes en € HT) DATTE Deglet-nour sèche Algérie branche (le kg) 5.90: 6.50 : DATTE Medjool fraîche Israël branche (le kg) 13.00: 13.00: 12.85: 12.80: 12.87: 12.80: 12.80 : DATTE Medjool sèche Israël branche (le kg) 11.20: 11.20 : MIN de Marseille : fruits et légumes (cours Ilsse vendent désormais à 170 et 180 DA/kg, selon les marchés, soit une augmentation minimum de 30 à 40% par rapport au prix pratiqué avant cette occasion. L’augmentation touche pratiquement tous les légumes utilisés durant ce mois, à l’image de la carotte (100 DA), la courgette (120 DA), la pomme de terre (80 DA), l’oignon (80 Prixdes fruits et légumes à Alger cette semaine (16 septembre) Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées Depuisquelques années, le Ramadan est devenu en Algérie synonyme d’accélération de la consommation et de la généralisation de la spéculation sur toutes les denrées alimentaires. Les prix des fruits et légumes connaissent traditionnellement une hausse vertigineuse à la veille ou aux premiers jours de Ramadan. Une tendance confirmée cette GdLGv. Des fruits et légumes aux céréales, en passant par les huiles de table, les prix des produits alimentaires n’ont pas connu de baisse après le mois de ramadhan. Si la flambée des céréales et des huiles s’explique par une pénurie de matières premières liée à une très forte demande au niveau mondial, celle des fruits et légumes reste incompréhensible et inexplicable. Contrairement à l’accoutumée, les prix des fruits et légumes se sont envolés après le mois de ramadhan, enregistrant, en moyenne, une augmentation de plus de 30% sur les deux dernières semaines. C’est ce qu’a constaté le Jeune Indépendant lors d’une tournée dans plusieurs marchés à Alger. Dans plusieurs régions de l’Algérois, les prix sont pratiquement identiques. Le prix de la carotte enregistre un record avec 160 DA le kilo. Le piment vert grimpe à 140 DA le kilo et le prix de la courgette oscille entre 100 et 120 DA le kilo. Le concombre est le seul légume qui s’affiche en dessous de 80 DA, devant la betterave qui est à 90 DA, l’oignon 100 DA, la laitue 120 à 140 DA, les navets 120 DA et la pomme de terre qui s’affiche entre 110 DA et 130 DA le kilo. Le prix de la tomate, ce fruit hors saison, a maintenu sa tendance haussière, oscillant entre 110 et 140 DA le kilo, et ce selon la qualité du produit. Les haricots verts sont proposés, quant à eux, entre 350 et 400 DA le kilo. Les citoyens, dont le portefeuille a beaucoup souffert lors du mois sacré et de l’Aïd-el-Fitr et qui s’attendaient à un peu de répit avec la baisse habituelle de la mercuriale, ne savent plus quoi faire. Rencontré au marché de Douéra, Moundir, enseignant dans le cycle primaire, s’est dit étonné de la hausse des prix des fruits et légumes, laquelle s’est maintenue même après la fin du mois de ramadhan. D’habitude, les prix se stabilisent vers la dernière semaine du ramadhan. Mais cette année, on constate qu’après une dizaine de jours de l’Aïd, les prix sont toujours aussi élevés, et ont même augmenté», a déploré Moundir, soulignant que les petites bourses peinent à joindre les deux bouts». De leur côté, les marchands de légumes expliquent que cette flambée est plutôt provoquée par les dernières précipitations ayant empêché les agriculteurs de récolter leurs cultures ainsi que par l’absence de main-d’œuvre à cause du long week-end suivi de l’Aïd-el-Fitr, durant lequel les travailleurs sont rentrés chez eux. Les autorités compétentes, qui ont essayé de réguler et de contrôler les marchés afin de freiner cette flambée, ont autorisé les agriculteurs à vendre leurs produits en gros ou au détail directement aux consommateurs. Elles affirment notamment que ces augmentations à répétition sont dues à la spéculation. Or, cette décision annoncée au mois de septembre 2021 n’a pas donné les résultats escomptés, à savoir soulager les citoyens, confrontés à la cherté des produits alimentaires. jeune-independant / Par Mohamed Mecelti Après avoir connu une hausse record pendant plus de deux mois, les prix des fruits et légumes viennent aujourd’hui de baisser de 30 %. De nombreux éléments peuvent être attribués à cette chute soudaine tels que la météo et le nombre de mandataires sur le marché; mais elle est due essentiellement à l’arrivée de quantités importantes des produits du sud du pays. Les prix devraient encore baisser mais les experts estiment que la régulation du marché nécessite en premier lieu la construction de marchés de proximité, la réduction du nombre des mandataires et le plafonnement des marges bénéficiaires. Les écarts de prix sont assez marqué ainsi, le prix de la tomate, qui était à 150 DA le kilo la semaine passée, a enregistré une baisse sensible, elle est cédée à 100 DA, le prix de la pomme de terre est de 60 et 70 DA. Celui de la carotte oscille entre 70 et 80 DA. Les oignons sont cédés à 40 DA, alors que le chou-fleur est proposé entre 25 et 30 DA. La courgette est à 140 DA. Mais que ce soit les experts, les commerçants et les acheteurs, tous s’accordent pour dire qu’il est nécessaire de renforcer et d’augmenter le nombre de contrôleurs pour réguler le marché. Source El Moudjahid Date de publication mer. 12 déc. 2018 On incrimine les dégâts causés par les récentes intempéries, on dénonce le dérèglement du marché de gros ; il y a toujours un prétexte pour justifier le prix élevé des fruits et légumes. Toujours est-il que ce prix est anormalement élevé malgré une saison clémente et une surabondance en qualité et en quantité de nos produits agricoles. Cette surabondance se remarque par les grandes quantités des fruits et légumes sur les étals des marchands. Ces produits agricoles sont présentés en quantités si énormes que l’on doute des chances d’écouler la marchandise dans la même journée. C’est le cas des pommes de terre, des oignons, des mandarines, des oranges, des grenades, des dattes, des navets, des carottes, des aubergines, des courgettes, du chou-fleur, de la laitue et aussi des pommes, tous de production locale. Les prix de ces fruits et légumes oscillent dans une fourchette située entre 100 et 600 dinars. Pour l’ail, le kilo franchit allégrement la barre des 1 000 dinars C’est trop pour le panier de la ménagère, qui se résout bien souvent à n’acheter ces fruits et légumes que par unité. Pourtant la qualité de ces produits que génère le sol algérien ne peut qu’être admirée. Ils sont d’abord bio, à l’iverse de ceux que l’on trouve dans les pays industrialisés et qui regorgent de revitalisants chimiques et de conservateurs nuisibles à l a santé. Nos produits sont aussi attirants par leur fraîcheur et leur goût naturel. Ainsi cette année les chou-fleurs sont les rois du marché. En les voyant si appétissants, on ne peut s’empêcher de penser à une soupe fumante et vivifiante avec ce légume, digne produit de notre terroir. Il en de même pour la laitue, superbe cette année, donnant une salade savoureuse et bienfaisante. Il faudrait que les prix des légumes soient en harmonie avec le pouvoir d’achat du citoyen algérien moyen. La consommation régulière des fruits et des légumes constitue le garant d’une bonne santé, et l’Algérie génère en abondance ces produits agricoles. Nombreux sont les Algériens qui connaissent les valeurs nutritives de nos fruits et légumes. Soit ils les achètent par unité dans les marchés, soit ils guettent le passage des vendeurs ambulants qui offrent des prix mois élevés. Certains même se déplacent en voiture en fin de semaine pour s’approvisionner dans des marchés dans les localités voisines. Pour ceux qui n’ont pas de véhicule, le marché de l’Aquiba, à Belcourt, est le seul espace dans la capitale où les prix des fruits et légumes peut être abordable. On trouve, à titre d’exemple, des tomates à 50 dinars le kilo, alors qu’ailleurs c’est le double ou le triple. Les prix des fruits et légumes connaitront une baisse à partir de fin novembre en cours, a déclaré à l’APS, le directeur général de la régulation et de l’organisation des activités au ministère du Commerce, Saïd Bekaï. Les prix connaitront une baisse sensible après la récolte de la nouvelle production des serres, a indiqué M. Bekaï, précisant que le secteur œuvre actuellement sur trois fronts pour rééquilibrer les marchés, contribuer à la rationalisation des prix et éviter la spéculation marchés de gros, marchés de détail et système de régulation. Dans ce cadre, le ministre du Commerce, Saïd Djellab a présidé, mardi dernier, une réunion des directeurs du secteur et des directeurs régionaux où il a donné des orientations allant dans le sens de l’interdiction de la spéculation sur les prix. Entre autres orientations, le ministre a mis en avant la nécessité de désigner des équipes de contrôle qui doivent s’assurer que les commerçants affichent les vrais prix et suivre la traçabilité des produits agricoles, des marchés de gros aux marchés de détail pour mettre un terme aux intermédiaires. En parallèle, M. Djellab a chargé ses services de déterminer les causes qui sont à l’origine de la hausse des prix, abstraction faite des explications liées à cette période de l’année appelée période de soudure », étant en dehors de la phases plateau de production. Les fruits et légumes disponibles actuellement sur le marché sont vendus en dehors de la saison de production. Il s’agit des stocks de la précédente saison et des productions des serres, a affirmé le même responsable. Les spéculateurs et intermédiaires dans certaines wilayas ont saisi la situation, ce qui a perturbé les opérations de distribution entre les marchés de gros et les marchés de détail, a-t-il indiqué. Cette situation s’explique, entre autres, par l’augmentation de la demande sur les fruits et légumes et autres produits durant la rentrée sociale par les restaurants, les cantines scolaires, les restaurants universitaires et les centres de formation », a ajouté M. Bekaï. Une cartographie nationale des marchés de gros et marchés de détail » est actuellement en cours d’élaboration pour garantir une meilleure organisation du marché et une meilleure maitrise des prix des produits agricoles, a-t-il indiqué, précisant que ces marchés seront dotés de cahiers de charge pour s’assurer de l’application de la loi. Dans ce contexte, les efforts constants de la Société de réalisation et gestion des marchés de gros Magros sont revalorisés, cette dernière ayant réalisé des programmes positifs pour élargir la présence des marchés de gros règlementaires à travers le territoire national. Le secteur compte parachever la réalisation de 8 marchés de gros dans plusieurs wilayas. Celui réalisé dans la wilaya de Sétif sera inauguré le 18 novembre en cours, en attendant d’apporter les dernières retouches pour le lancement du nouveau marché dans la wilaya de Aïn Defla qui jouera un rôle très important dans la traçabilité des fruits et légumes pour une meilleure maitrise des prix, a fait savoir M. Bekaï. Ces marchés seront un espace de rassemblement des agriculteurs et des vendeurs, à condition de disposer de la carte professionnelle et du registre de commerce. Les acteurs seront également liés directement en toute transparence à travers l’établissement des factures pour les commandes. L’exigence du registre de commerce lors des transactions entre vendeurs gros et détail est à même de faciliter le contrôle, d’identifier les contrevenants et de connaitre les failles, a estimé M. Bekaï. S’agissant de l’organisation en place au niveau des marchés de Hatatba et des Eucalyptus, le responsable a affirmé qu’ils assuraient l’approvisionnement de la capitale en légumes et fruits, relevant qu’une brigade a été mise en place pour assurer le contrôle et le suivi de ces marchés. Concernant le marché de Khemis El Khechna, M. Bekai a fait état de dissolution de l’entreprise communale qui gère cette structure, annonçant que la gestion de cette infrastructure proposée dans le cadre d’un appel d’offres. Par rapport au mois de septembre, les prix de la pomme de terre ont connait une hausse de plus de 80%, en raison de la période de soudure » dans les différents wilayas à l’exception de Mostaganem qui entamera la récolte dans les prochains jours, a-t-il expliqué. Dans ce contexte, M. Bekai a mis en avant que ce marché était régulé grâce au système de régulation des produits agricoles Syrpalac. A noter que le système Syrpalac, adopté depuis 2008, consiste en le stockage des produits durant la saison de récolte dans l’objectif de protéger les superficies cultivées, le produit national et l’agriculteur en cas de surproduction. Dans ce cadre, tonnes de pomme de terre ayant été stockés lors de la précédente saison seront acheminés aux marchés par les services des ministères du Commerce et de l’Agriculture conformément à un programme permettant à chaque agriculteur d’accéder au marché au moment opportun. Des cellules mise en place à cet effet en sus des brigades des contrôles, assureront le suivi de cette opération au niveau de chaque wilaya. Pour ce qui est des marchés couverts de vente en détail inexploités dans plusieurs wilayas, le même responsable a affirmé que le secteur s’employait à recenser ces structures abandonnées depuis des années afin de les réaménager », soulignant l’ouverture d’une enquête pour déterminer les causes ayant menées à cette situation. Selon M. Bekaï, l’ouverture de ces marchés servira d’un trait d’union entre le programme de réalisation des marchés de gros et la réhabilitation des marchés de détail, ce qui permettra de maitriser le flux de légumes et de fruits, ainsi que leurs prix. Les services du ministère sont destinataires des rapports quotidiens sur les prix de tous les produits du marché et les raisons de leur hausse dans certaines périodes de l’année, et s’emploient à lutter contre la spéculation, a poursuivi le même responsable. Le Conseil national interprofessionnel de la filière avicole CNIFA contribuera à réguler les prix S’agissant de la hausse importante des prix des viandes blanches, notamment le poulet, le responsable a fait savoir que le ministère avait lancé des enquêtes pour identifier les raisons à l’origine de cette hausse des prix qui ont augmenté de 14% par rapport à la même période de l’année précédente. Ces enquêtes ont fait ressortir, ajoute le directeur général, que la hausse des prix de poulet était due au nombre d’intermédiaires et à la mauvaise organisation du métier en général, mettant en exergue que cette situation connaîtra une amélioration palpable après la constitution du CNIFA. Par ailleurs, l’enquête a dévoilé plusieurs autres causes derrière la fluctuation des prix de la volaille, à l’instar du recours aux anciens modes d’élevage qui sont à l’origine de la perte de la volaille durant les périodes qui connaissent une baisse de la température. Les résultats de ladite enquête ont également pointé du doigt la hausse de prix des fourrages, notamment ceux de la volaille, et le faible nombre de wilayas où cette activité est développée. La hausse de prix des viandes rouges et des poissons durant cette période de l’année a engendré une forte demande sur les viandes blanches de la part des citoyens, ce qui a impacté l’offre et la demande et, partant, les prix. Articles similaires Les prix des fruits et légumes continuent d’augmenter sur les marchés de gros et de détails de différentes régions du pays. Les consommateurs ont été désagréablement surpris ces derniers jours, par une nouvelle hausse des prix de l’ensemble des fruits et légumes. Une flambée qui laisse penser que la situation s’aggravera davantage à l’approche du mois de Ramadhan. A titre d’exemple, la pomme de terre est proposée entre 100 et 120 DA le Kg soit une hausse de 10 DA en l’espèce d’une semaine. Pour la tomate, ses prix tournent autour de 130 et 140 DA le kg, soit une hausse de 20 DA en semaine. La hausse a touché également l’union et les carottes dont le prix a atteint les 70 DA le Kg. L’ail a de son côté enregistré un nouveau record. En effet, ce produit indispensable au mois du Ramadhan, est affiché à plus de 1150 DA le Kg.

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